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  • Un ladrón honesto en las galeras

    I am now in Barcelona; but the next Week I intend to go on through your Town of Valencia to Alicant, and thence you shall be sure to hear from me farther, for I make account to winter there. The Duke of Ossuna passed by here lately, and having got Leave of Grace to release some Slaves, he went aboard the Cape Galleys, and passng through the Churma of Slaves, he asked divers of them what their Offences were: Every one excused himself; one saying, That he was put in out of Malice, another by Bribery of the Judge, but all of them unjustly: Amongst the rest there was one little sturdy black Man, and the Duke asking him what he was in for; Sir, said he, I cannot deny but I am justly put in here; for I wanted Money, and so took a Purse hard by Tarragone, to keep me from starving. The Duke, with a little Staff he had in his Hand, gave him two or three Blows upon the Shoulders, saying, You Rogue, what do you do amongst so many honest innocent Men? Get you gone out of their Company. So he was freed, and the rest remained still in statu quo prius, to tug at the Oar.

    I pray commend me to Signior Camillo, and Mazalao, with the rest of the Venetians with you; and when you go aboard the Ship behind the Exchange, think upon

    Yours, J. H. Barcelona, 10 Nov. 1620.

  • El entorno: Montserrat, banderolismo, piratería, supersticiones

    To Sir James Crofts.

    I am now a good way within the Body of Spain, at Barcelona, a proud wealthy City, situated upon the Mediterranean, and is the Metropolis of the Kingdom of Catalonia, called of old Hispania Tarraconensis. I had much ado to reach hither; for besides the monstrous Abruptness of the Way, these Parts of the Pyrenees that border upon the Mediterranean, are never without Thieves by Land (called Bandoleros) and Pirates on the Sea-side, which lie sculking in the Hollows of the Rocks, and often surprise Passengers unawares, and carry them Slaves to Barbary on the other Side. The safest Way to pass, is to take a Bordon in the Habit of a Pilgrim, whereof there are abundance that perform their Vows this Way to the Lady of Monserrat, one of the prime Places of Pilgrimage in Christendom: It is a stupendious Monastery, built on the Top of a huge Land-Rock, whither it is impossible to go up or come down by a direct Way, but a Path is cut out full of Windings and Turnings; and on the Crown of this craggy Hill there is a Flat, upon which the Monastery and Pilgrimage-place is founded, where there is a Picture of the Virgin Mary sun-burnt and tanned, it seems when she went to Egypt; and to this Picture, a marvellous Confluence of People from all Parts of Europe resort.

    As I passed between some of the Pyreney-hills, I perceived the poor Labradors, some of the Country People, live no better than brute Animals, in point of Food; for their ordinary Commons is Grass and Water, only they have always within their Houses a Bottle of Vinegar, and another of Oil; and when Dinner or Supper-time comes, they go abroad and gather their Herbs, and so cast Vinegar and Oil upon them, and will pass thus two or three Days without Bread or Wine; yet they are strong lusty Men, and will stand stiffly under a Musket.

    There is a Tradition, that there were divers Mines of Gold in Ages past amongst those Mountains: And the Shepherds that kept Goats then, having made a small Fire of Rosemary-stubs, with other combustible Stuff to warm themselves, this Fire grazed along, and grew so outrageous, that it consumed the very Entrails of the Earth, and melted those Mines; which growing fluid by Liquefaction, ran down into the small Rivulets that were in the Vallies, and so carried all into the Sea, that monstrous Gulph which swalloweth all, but seldom disgorgeth any thing: And in these Brooks to this Day some small Grains of Gold are found.

    The Viceroy of this Country hath taken much Pains to clear these Hills of Robbers, and there hath been a notable Havock made of them this Year; for in divers Woods as I passed, I might spy some Trees laden with dead Carcasses, a better Fruit far than Diogenes’s Tree bore whereon a Woman had hanged herself; which the Cynic cried out to be the best bearing Tree that ever he saw.

    In this Place there lives neither English Merchant or Factor; which I wonder at, considering that it is a maritime Town, and one of the greatest in Spain, her chiefest Arsenal for Gallies, and the Scale by which she conveys her Monies to Italy: But I believe the Reason is, that there is no commodious Port here for Ships of any Burden, but a large Bay. I will enlarge myself no farther at this time, but leave you to the Guard and Guidance of God, whose sweet Hand of Protection hath brought me thro’ so many uncouth Places and Difficulties to this City. So hoping to meet your Letters in Alicant, where I shall anchor a good while, I rest

    Yours to dispose of, J. H. Barcelona, 24 Nov. 1620.

  • Entrada del Duque de Berwick, Te Deum en la catedral, grandes destrozos en la ciudad, los Migueletes entran en el ejército borbón, quema de banderas

    A Barcelone le 21. Septembre.

    M. le Maréchal de Berwick a fait le 18. de ce mois son entrée en cette Ville pour aller à la Cathedrale faire chanter le Te Deum. Il partit du Camp suivi de plus de 100. Officiers du premier ordre, tous bien montez, & les Chevaux couverts de houffes tres propres. J’avois l’honneur d’estre de nombre. Lorsque nous fumes au tiers du chemin, il s’arrêta un quart d’heure, après il s’avança à une demie portée de Canon de la Ville, où il attendit encore un quart d’heure. Le Corps de Ville vint au-devant de luy. Il y avoit dix hommes à pied vêtus de Robes rouges & un galon deflus. Ils estoient suivis d’un pareil nombre vestus de même qui estoient à cheval. Il y en avoit de montez sur des mules avec des Timbales; après quoy marchoient à cheval six hommes avec des Robes bleues & violettes, tenant des manieres de masses à la main, & ils étoient suivis de cinq Consuls bien montez, donc les chevaux estoient magnifiquement harnachez, avec beaucoup de rubans à leur teste. Ils avoient une maniere d’écharpe de satin rouge à fleurs d’or large de neuf à dix pouces qui leur prenoit sur l’épaule & descendoit jusqu’à leur épée. M. le Maréchal s’arresta; le premier Consul luy fit une petite Harangue en Espagnol. Je ne pus pas bien l’entendre. M. le Maréchal luy repondit fort honnestement, & leur dit en general qu’il falloit oublier le passé, qu’ils n’avoient qu’à donner au Roy des marques de leur fidelité, & qu’il feroit toux ce qu’il pourroit auprés de S. M. C. pour l’engager à les traiter favorablement. Apres quoy les Gardes de M. le Maréchal mirent l’épée à la main, & passerent les premiers. Tout le cortege fit demy tour à droite, & marcha du costé de la Ville dans le même ordre qu’il estoit venu. Le premier Consul marcha à la gauche du Milord. En approchant, le Montjoüy salua de tout son Canon, & en entrant dans la Ville toute l’artillerie de la Place tira. Il y avoit sur la porte trois tapis avec le Portrait du Roy d’Espagne. Nous marchâmes dans cet ordre jusqu’à la Citadelle. Les ruës estoient bordées de Soldats qui presentoient les armes, & avoient leurs bayonnettes au bout du fusil, il n’y avoit que les Gardes Valones qui eussent le fusil sur l’épaule. Il y avoit dans les rues qui traversaient celles par lesquelles nous passions, des Cavaliers qui avoient le sabre haut. Le Portrait du Roy edtoit aussi au dessus de la grande porte de l’Eglise. Le Chef du Clergé suivi de ses Chanoines se trouva sur la porte & fit son compliment à M. le Maréchal. Se l’accompagna dans le Chœur où on luy avoit preparé un Prié-Dieu. L’Eglise estoit fort illuminée. On chanta le Te Deum en Musique, pendant lequel tems la Place fit 3. décharges de Canon. Les enfans & le petit peuple crioient Viva & jettoient leurs chapeaux en l’air. Le Te Deum fini on repassa par les mêmes ruës & avec le même ordre jusqu’à la porte. En sortant, la Place & le Montjoüy saluerent encore de toute leur artillerie. Voilà toute la Ceremonie.

    Je remarquay qu’il y avoit neuf Bombes qui estoient tombées dans cette Eglise. Il y a des ruës où l’on ne peut passer à cause des débris des maisons. Il y en a peu qui ne soient endommagées ou des Bombes ou des Boulets à ricochet que nous avons tirez.

    Lorsque M. de Broglio est parti il y avoit auprás de M. le Maréchal des Deputez de l’Isle de Maillorque pour traiter avec luy.

    On parle diversement du Marquis de Villaroel qui commandoit dans Barcelone, & qui a eu le genoüil cassé au dernier assaut; les uns disent qu’il s’est sauvé à Maillorque, & les autres qu’il s’est remis à la clemence du Roy, alleguant qu’il n’a pas tenu à ses representations que les Rebelles ne se soient plutost soumis. Ce dernier sentiment paroist le plus vray.

    J’ay vû d’ailleurs des Lettres qui mandent qu’il ne faut pas croire un mot du grand nombre de gens que nous avons perdu. Il y en a six fois moins.

    On ajoute qu’on va faire le procès aux plus coupables des Rebelles, que les Miquelets prendront parti dans les Troupes d’Espagne, & qu’on oblige la Ville de bastir une Citadelle à ses dépens.

    On dit que M. le Maréchal de Berwick avoit envoyé les Drapeaux de Barcelone à Madrid, & que le Roy d’Espagne les luy a renvoyé par le même Courrier avec ordre de les faire brûler au milieu de la Ville par la main du Bourreau.

    Une Lettre du trois de ce mois porte que M. le Maréchal a fait embarquer le même jour vingt deux des principaux Chefs des Rebelles, pour les faire passer au Château d’Alicant, où ils seront bien gardez. On dit que Villaroel, Pinos, & Basset sont du nombre des prisonniers. Il y en a un grand nombre d’autres qu’on envoye à Peniscola.

  • Galdós: recuerdos de la Barcelona revolucionaria del 68; la Rambla, la Muralla del Mar y el Jardín del General; el guerracivilismo de los españoles; su primera novela

    Al salir de Barcelona [en 1903] el maestro Galdós ha enviado á EL LIBERAL en Barcelona una notable impresión, cuyo especialísimo tono local no le resta mérito alguno fuera de la ciudad condal.

    Sobriamente evoca Galdós los sucesos de Septiembre del 68, y la antigua ciudad.

    Es éste un documento muy interesante, además, por lo que cuenta de Los Episodios nacionales.

    Dice así:

    Sr. Director de EL LIBERAL.

    Me pregunta usted si es antiguo mi conocimiento de Barcelona, y cuántas veces he visitado á esta ciudad. Más fácilmente que puntualizar las visitas, puede mi memoria dar á usted noticia de la primera tan remota, que ahora me parece, como quien dice, perdida en la noche de los tiempos. Ello fué en días inolvidables, de los que marcados quedaron en la Historia patria como días de buena sombra, resultando también de feliz agüero en la vida individual, particularmente en la mía. En Barcelona pasé las dos últimas semanas de Septiembre de 1868, y el memorable día 29, fechas, como usted sabe muy bien, de las más famosas del siglo nuestro, que es el pasado, todo él bien aprovechado de crueles guerras, mudanzas y trapisondas.

    Ya ve usted si son de largo tiempo mis amistades con la capital de Cataluña. El prodigioso crecimiento de esta matrona, nadie tiene que contármelo, porque lo he visto y apreciado por mí mismo, un lustro tras otro. En Septiembre del 68, rota ya la cintura de murallas que oprimían el cuerpo de la histórica ciudad, empezaba ésta, por una parte y otra, á estirar sus miembros robustos nutridos por sangre potente. La he visto crecer, pasando de las moderadas anchuras á las formas de gigante que no cabe hoy en las medidas de ayer, ni ve nunca saciadas sus ansias de mayor vitalidad y corpulencia.

    A mediados de Septiembre vine de Francia con mi familia, pasando el Pirineo en coche, pues aun no había ni asomos de ferrocarril entre Perpiñán y Gerona. Recuerdo que por falta de puente en no sé qué río, la diligencia se metía en las turbias aguas, atravesándosas de una orilla á otra sin peligro alguno, al menos en aquella ocasión. De Figueras, conservo tan sólo una idea vaga. En cambio, Gerona, donde pasé un día con su noche, permaneció en mi mente con impresiones indelebles… [Gerona y los Episodios Nacionales]

    Barcelona fúe para mí un grato descubrimiento y un motivo de admiración, aun viniendo de París y Marsella. Me sorprendían y cautivaban la alegría de este pueblo, la confianza en sí mismo, y el ardor de las ideas liberales que entonces flameaban en todas las cabezas, aquel ingénuo sentimiento revolucionario, ensueños de vida progresiva y culta, tras de la cual corrían con igual afán los que conocían el camino y los que ignoraban por dónde debíamos ir para llegar salvos. En aquellos hermosos días de esperanza y fe, tenía la Libertad millones de enamorados, y lo que llamábamos Reacción había caído en el mayor descrédito. El sentimiento público era tan vivo, que las cosas amenazadas de muerte se caían solas, sin que fuera menester derribarlas.

    La principal hermosura de Barcelona era entonces su Rambla, rotulada con diferentes nombres, desde Santa Mónica hasta Canaletas. Viéndola hoy [1903], paréceme que nada ha cambiado en ella, y que su animación bulliciosa de hace treinta años era la misma que actualmente le da el contínuo trajín de coches y tranvías. La Rambla es de esas cosas que, admitiendo las modificaciones que trae el tiempo, no envejecen nunca, y conservan eternamente su frescura risueña y la sonrisa hospitalaria.

    El paseo más grato era entonces la Muralla de Mar, á la que se subía por la rampa de Atarazanas, y se extendía por lo que es hoy paseo de Colón. El paseante iba por el alto espacio en que se mecen hoy las cimas de las palmeras, y por un lado dominaba el puerto, en el cual hacían bosque los mástiles de los buques de vela, por otro podía curiosear el interior de los primeros pisos. Ya se hablaba de demoler la muralla, y los viejos se lamentaban de la destrucción de aquel lindo paseo, como de la probable pérdida de un sér querido; tan arraigada estaba en las costumbres la vuelta diaria por el alto andén en las tardes placenteras de verano. Los jóvenes la vierno desaparecer, y ya no se acuerdan de lo que fué uno de los mayores encantos de la vieja Barcelona.

    El ensanche estaba ya bosquejado, y en el Paseo de Gracia iban tomando puesto las magníficas construcciones, que eran albergue y vanagloria de los ricos de entonces. Aun faltaba mucho para que se pudiera admirar la parada de casas con que el citado Paseo, la Rambla de Cataluña, la Granvía y otras nos deslumbran y fascinan, pasándonos por los ojos la vida fastuosa y un tanto dormilona de los millionarios de hoy. De jardines públicos no recuerdo más que el llamado del General, más allá de la Lonja, hacia el Borne. Era tan chico y miserable que si hoy existiera lo miraría con burla y menosprecio la más menguada plazuela de la moderna ciudad. Más allá se extendía la trágica Ciudadela, odiada del pueblo, que anhelaba destruirla, y casi casi anticipaba la demolición con sus maldiciones y anatemas.

    Me parece que estoy viendo al conde de Cheste, en aquellos días de Septiembre, recorriendo la Rambla, seguido de los mozos de escuadra. Su arrogante estatura se destacaba entre el gentío, que le veía pasar con respeto y temor. Del último bando que publicó, conservo en mi memoria retazos de frases que denunciaban su carácter inflexible, su adhesión á la causa que defendía, así como sus gustos literarios, propendiendo siempre á cierto lirismo militar, muy propio de los caudillos de la primera guerra civil. No recuerdo bien si fué el 30 ó el 31 cuando empezaron á correr las primeras noticias de la acción de Alcolea. Fueron rumores, que más parecían ilusiones del deseo. Primero, secreteaba la gente en los corrillos de la Rambla; después, personas de clases distintas soltaban el notición en alta voz; y los crédulos y los incrédulos acababan por abrazarse… Lo que pasó luego en la ciudad no lo supe, porque mi familia tuvo miedo, creyendo que se venía el mundo abajo, y como habíamos de salir para Canarias, se resolvió abandonar la fonda de las Cuatro Naciones, y buscar seguro asilo á bordo del vapor América, que había de salir en una fecha próxima. Aquella noche, tertuliando sobre cubierta mi familia y otras que también huían medrosas, vimos resplandor de incendios en diferentes puntos de la población. El pueblo, inocente y siempre bonachón, no se permitía más desahogos revolucionarios, después de tanto hablar, que pegar fuego á las casillas del fielato.

    Viajeros pesimistas, que iban con nosotros, auguraban asolamientos y terribles represalias que ponían los pelos de punta; pero nada de esto pasó, al menos por entonces. El pueblo, aquí como en el resto de España, rarísima vez ha sido vengativo en las conmociones puramentes políticas. Se ha contentado con un cambio infantil de los nombres y símbolos de las cosas, así como los primates apenas han sabido otra cosas que erigir nuevas columnas en la Gaceta, llenas de ineficaz palabrería.

    Tengo muy presente al segundo de á bordo, catalán de acento muy cerrado, sujeto entrado en años, locuaz, ameno y de feliz memoria. Monstrándome el edificio de la Capitanía general, que tras la Muralla del mar desde el vapor se veía, me contó con prolijas referencias de testigo presencial la horrible muerte de Bassa, como lo arrojaron por el balcón, como lo apuñalearon, y echándole una cuerda al cuello, arrastraron por las calles su acribillado cuerpo. Poco sabía yo de estas cosas. De la dramática historia del siglo sólo conocía las líneas generales, y eran vagamente sintéticas mis ideas sobre las sanguinarias peleas por los derechos de dos ramas dinásticas, sin que en tan estúpìda y fiera lucha haya podido ninguno de los dos bandos demostrar que su rama valía más que la otra.

    Naturalmente, no pensaba yo así en aquel tiempo, pues mis conocimientos de la historia patria eran cortos y superficiales, y del libro de la experiencia había pasado muy pocas hojas. Los frutos de la verdad son tardíos. Vienen á madurar cuando maduramos; pero en nuestro afán de vivir á prisa, comemos verde el fruto, y de aquí que no nos haga todo el provecho que debemos esperar… Como digo, yo sabía de estas cosas menos de lo que hoy sé, que no es mucho, y mis inclinaciones hacía la novela eran todavía indecisas por estar la voluntad partida en tentativas y ensayos diferentes. La Fontana de oro, primer paso mío por el áspero sendero, no estaba aún concluída. Ín diebustillis [In diebus illis: en días aquellos], cuando por primera vez estuve en Barcelona, llevaba conmigo dos tercios próximamente de aquella obra, empezada en Madrid en la primera del 68, continuada después en Bagneres de Bigorre, luego pasada por Barcelona y las aguas del Mediterráneo para que se refrescara bien, y concluída por fin en Madrid andando los meses.

    El vapor América salió para Canarias, y á mí me dejó en Alicante.

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    Dispénseme usted, señor director… Las horas vuelan, y está cerca ya la de mi partida de Barcelona.

    Quédese la continuación para el año próximo.

    B. Pérez Galdós.

    Barcelona 8 de Agosto de 1903.